György Cziffra, Sir Georg Solti, Zoltàn Koscis, Béla Bartòk… La Hongrie s’est invitée en lever de soleil venu de l’Est, fil rouge feu, merveilleux conducteur participant à faire rayonner le nom de Jean-Efflam Bavouzet au firmament du ciel pianistique international. Au-delà des frontières terrestres et musicales, l’élève de Pierre Sancan a su dépasser la dystonie qui l’a touché pour se construire un jeu qui nous emporte de l’émotion onirique d’une intégrale Claude Debussy à l’exploration sonore de Stockhausen. Le retour à ses premières amours, les Sonates de Haydn, était l’occasion toute trouvée pour une interview tout feu tout flamme…